Face à l’urgence climatique et à la flambée des coûts de l’énergie, l’optimisation du fonctionnement des bâtiments représente un levier majeur d’économies.
Dans ce contexte, la gestion technique du bâtiment (GTB) s’impose comme un outil stratégique pour piloter, surveiller et automatiser l’ensemble des équipements techniques d’un bâtiment. Ainsi, la GTB transforme chaque site en un bâtiment intelligent, maîtrisé et plus durable.
Les experts BTIB vous proposent une synthèse claire pour découvrir ce qu’est une GTB, comment elle fonctionne et pourquoi elle devient un élément clé de tout projet de construction ou de rénovation.

Tout savoir sur la Gestion Technique du Bâtiment (GTB)
Gestion technique du bâtiment (GTB) : définition
La GTB, pour gestion technique du bâtiment ou BMS (building management system), désigne un système informatique centralisé de contrôle, supervision et optimisation des équipements techniques.
Elle gère de façon intégrée les installations de chauffage, ventilation, climatisation (CVC), éclairage, plomberie, sécurité incendie, anti-intrusion ou encore vidéosurveillance.
Historiquement utilisée comme un outil de pilotage des grandes installations CVC, la GTB facilitait surtout la maintenance préventive et la détection d’anomalies. Aujourd’hui, avec les enjeux énergétiques et les exigences réglementaires croissantes (décret BACS et décret tertiaire), la gestion technique du bâtiment est devenue un véritable levier de performance énergétique.
Certains parlent même de GTEB (gestion technique et énergétique du bâtiment) pour souligner cette évolution.
La GTB moderne repose sur des fonctionnalités avancées, telles que :
- la supervision en temps réel des équipements et des consommations ;
- l’analyse automatisée des données de consommation d’énergie collectées ;
- les contrôles intelligents selon les scénarios programmés.
La gestion technique du bâtiment permet ainsi de réduire les consommations et d’optimiser le fonctionnement de l’exploitation, tout en garantissant le confort et la sécurité des occupants.
Quels bâtiments peuvent intégrer une gestion technique du bâtiment ?
À ses débuts, la gestion technique du bâtiment était principalement déployée dans des infrastructures de grande taille, où la maîtrise fine des équipements techniques s’impose : hôpitaux, tours de bureaux, usines, complexes hôteliers, buildings, etc.
Progressivement, son usage s’est démocratisé. La GTB s’intègre désormais dans des bâtiments de taille moyenne à modeste, qu’ils soient tertiaires (bureaux, commerces, établissements recevant du public) ou non tertiaires (industriels, agricoles, logistiques). Ainsi, la gestion technique du bâtiment étend son champ d’action à l’ensemble du parc immobilier.
La GTB est également très utilisée sur des réseaux de petits sites distants (agences bancaires, stations-service, magasins en franchise, etc.). Elle permet une supervision centralisée à distance, particulièrement utile lorsque la présence physique et permanente d’un exploitant n’est pas rentable ou inutile.
Quels éléments composent une GTB ?
La GTB repose sur un ensemble d’équipements interconnectés qui permettent de collecter, transmettre, analyser et agir sur les systèmes techniques du bâtiment.
Elle est organisée selon une architecture à trois niveaux :
- la couche process regroupe les capteurs, sondes, actionneurs et automates de régulation, affectés aux différents lots techniques (CVC, éclairage, stores, plomberie, électricité, etc.) ;
- la couche réseau comprend les commutateurs (switch), routeurs, concentrateurs GTB, et parfois une base de données pour centraliser et stocker les informations ;
- la couche de supervision est le niveau logiciel, aussi appelé superviseur, qui permet de visualiser les installations, gérer les alarmes, consulter les historiques et configurer des zones de gestion, notamment pour les systèmes qui ne les intègrent pas en natif.
Dans le langage courant, on assimile souvent la GTB à cet outil de supervision, mais rappelons qu’elle englobe l’ensemble du système d’automatisation et de communication du bâtiment.
Comment fonctionne la GTB d’un bâtiment ?
Une GTB fonctionne en récupérant des données de terrain à travers des capteurs (température, luminosité, consommation, etc.) qui remontent les informations à un superviseur centralisé.
Ce dernier les traite, les affiche en temps réel, puis déclenche des actions automatisées via les actionneurs (ouvertures, réglages, coupures, etc.).
Les automates programmables assurent la coordination des commandes selon des scénarios définis, pour garantir ainsi la cohérence du système, la réactivité en cas d’anomalie et une optimisation continue du fonctionnement du bâtiment.
Grâce à cette logique hiérarchisée, la GTB permet non seulement de surveiller les installations, mais aussi de réduire les consommations, d’améliorer la maintenance et d’anticiper les défaillances.
Quels sont les domaines d’application d’une gestion technique du bâtiment ?
La GTB s’applique à une large gamme de fonctions techniques dans le bâtiment qui impactent la performance énergétique, le confort des usagers et la sécurité globale de l’exploitation.
Voici les principaux domaines dans lesquels la gestion technique du bâtiment intervient de manière centralisée et intelligente.
Chauffage, ventilation et climatisation (CVC)
La GTB pilote la production et la distribution du chaud et du froid pour optimiser les consommations énergétiques tout en assurant un confort thermique constant en fonction de l’activité et des besoins spécifiques.
Un meilleur renouvellement d’air et le confort des occupants sont assurés.
Éclairage
Dans le cas de l’éclairage, la GTB permet une gestion dynamique de l’éclairage, en adaptant les niveaux lumineux aux besoins réels, à l’occupation ou à la luminosité naturelle.
Des économies sont rapidement mesurables et le confort visuel des usagers s’améliore.
Sécurité
Au niveau de la sécurité, la GTB surveille en continu l’état des équipements de sûreté (détection incendie, intrusion, issues de secours, etc.).
Elle déclenche des alertes ou des actions automatiques en cas d’anomalie pour garantir la sécurité des occupants.
Suivi des consommations
Rôle essentiel de la GTB, elle centralise les données énergétiques de tous les types de fluides (eau, électricité, gaz, etc.) et les analyse pour identifier les gaspillages, détecter des surconsommations et orienter les actions d’optimisation énergétique.
Ces données sont indispensables dans une entreprise qui doit répondre aux exigences du décret tertiaire et réduire progressivement ses consommations. C’est également une source de données essentielle dans le cadre de la mise en œuvre d’une politique RSE (responsabilité sociétale des entreprises).
Quels sont les atouts d’une GTB pour une entreprise ?
La gestion technique du bâtiment représente aujourd’hui un outil stratégique pour les entreprises.
Elle permet d’aligner :
- efficacité opérationnelle ;
- conformité réglementaire ;
- performance énergétique ;
- amélioration des conditions de travail des occupants.
Sa mise en œuvre répond directement aux exigences des décrets BACS et tertiaire, qui imposent des obligations de pilotage et de réduction des consommations dans le parc tertiaire.
Optimisation des performances énergétiques
La GTB surveille et contrôle les équipements techniques (CVC, éclairage, etc.) pour réduire les gaspillages et améliorer le rendement énergétique global. Un enjeu central face aux obligations du décret tertiaire !
Confort et sécurité des occupants
En régulant les conditions d’ambiance (température, qualité de l’air, lumière) et en assurant la surveillance des systèmes de sécurité, la GTB contribue à offrir un environnement stable, sûr et plus agréable.
Réduction des coûts énergétiques
En adaptant le fonctionnement des équipements aux usages réels (présence, horaires, météo), la GTB permet de diminuer durablement le montant des factures énergétiques, tout en répondant aux objectifs de sobriété imposés par les réglementations BACS.
Maintenance préventive intelligente
Grâce à la supervision en temps réel, les anomalies sont identifiées avant que la panne survienne. Ainsi, grâce à la maintenance prédictive, les coûts d’entretien et de réparations sont réduits.
En outre, dans le contexte d’une chaîne de production, il n’y a aucune interruption à craindre qui viendrait perturber la rentabilité de l’activité.
Pilotage centralisé et simplifié
La GTB met à disposition des exploitants une interface unique pour :
- gérer tous les systèmes techniques ;
- faciliter la prise de décision, la planification et la traçabilité des actions correctives ou préventives.
Comment bien choisir sa GTB ?
Le choix d’un système de gestion technique du bâtiment ne se limite pas à un outil de supervision. Il repose à la fois sur des critères réglementaires, fonctionnels et techniques, dont l’un des plus importants est la classe de performance définie par la norme NF EN ISO 52120-1.
Classes et norme NF EN ISO 52120-1
Remplaçante de l’ancienne norme EN 15 323, la norme NF EN ISO 52120-1 permet d’évaluer le niveau d’efficacité énergétique d’un système GTB selon les fonctions de régulation et d’automatisation mises en œuvre sur les équipements techniques du bâtiment.
Cette norme établit quatre classes de performance, de la plus performante à la moins performante :
Classe A – GTB à haute efficacité énergétique, avec des fonctions avancées, comme le pilotage intelligent, la détection d’occupation, l’adaptation dynamique aux conditions extérieures, l’optimisation automatique, etc. C’est le niveau visé pour répondre aux meilleures pratiques et aux exigences du décret BACS ;
Classe B – cette GTB performante assure une régulation automatique efficace, avec des scénarios prédéfinis (horaires, zones, consignes) mais elle moins adaptative qu’une classe A. Elle permet toutefois une maîtrise énergétique significative conforme aux obligations réglementaires ;
Classe C – GTB assurant une gestion basique, souvent manuelle ou semi-automatisée, avec un pilotage non optimisé. Elle est peu adaptée aux exigences actuelles en matière de performance énergétique. C’est la classe minimale pour répondre aux exigences du décret BACS ;
Classe D – peu performante et absence d’automatisation. La commande des équipements (éclairage, CVC, etc.) est 100 % manuelle. Cette GTB n’offre aucune stratégie énergétique intégrée. Cette classe est incompatible avec les objectifs des décrets tertiaire et BACS.
Par exemple, un éclairage contrôlé par interrupteur manuel correspond à une classe D. Un système piloté par capteurs de présence et selon la luminosité ambiante peut atteindre la classe A.
⚠️ Attention ! La classe globale de la GTB est conditionnée par le sous-système le moins performant. Si un seul lot est en classe B, alors l’ensemble du bâtiment est classé B, même si les autres sont en A. Contrairement à une idée reçue, aucune marque ne garantit une GTB « classe A » par défaut. Ce sont les fonctions réellement déployées et configurées dans le bâtiment qui déterminent la classe finale.
Les autres critères pour choisir une GTB
Outre la performance énergétique et la conformité avec la norme NF EN ISO 52120-1, plusieurs critères doivent être pris en compte pour sélectionner une GTB adaptée aux besoins réels du bâtiment. Ces éléments influencent la pérennité, la sécurité, l’exploitabilité et le coût global du système.
Ouverture
Une GTB doit être capable de communiquer avec différents équipements et protocoles du marché, tels que Modbus, KNX, BACnet ou LonWorks.
Cette interopérabilité garantit la liberté de choix des équipements et évite l’enfermement technologique auprès d’un fournisseur unique.
Évolutivité
Le système doit pouvoir accompagner l’évolution du bâtiment :
- extension de zones ;
- ajout de nouveaux lots techniques ;
- intégration de fonctions spécifiques (gestion de bornes de recharge, photovoltaïque, etc.).
Une GTB évolutive protège l’investissement dans la durée.
Cybersécurité
La digitalisation des bâtiments rend les systèmes GTB vulnérables aux cyberattaques.
Tout exploitant doit s’assurer que la solution embarque des mécanismes de protection des données, des protocoles de chiffrement et une gestion des accès sécurisée.
Connectivité
Une GTB performante doit pouvoir échanger des données avec des plateformes tierces, comme des logiciels de GMAO, des ERP ou des outils d’analyse énergétique.
Ces échanges permettent une exploitation enrichie des données pour améliorer la maintenance, les performances et la prise de décision.
Coût global
Le choix d’une GTB ne doit pas reposer uniquement sur le prix d’achat.
Le coût global de possession (TCO) est à considérer : installation, paramétrage, maintenance, mises à jour logicielles, accompagnement technique et formation.
Un système bon marché peut s’avérer coûteux à long terme s’il est fermé ou difficile à maintenir.
Maintenabilité
Le système GTB doit pouvoir être entretenu, corrigé et optimisé par plusieurs prestataires qualifiés.
Optez pour une solution documentée, standardisée et bien diffusée, afin d’éviter une trop forte dépendance à un éditeur ou installateur unique.
Décret tertiaire et décret BACS : quels impacts sur l’installation d’une GTB ?
Dans le cadre de la transition énergétique, deux textes réglementaires majeurs encadrent désormais les performances énergétiques du secteur tertiaire :
- le décret tertiaire qui impose des objectifs de réduction de consommation ;
- le décret BACS qui prescrit l’installation de systèmes d’automatisation tels que la GTB.
Décret tertiaire : réduire les consommations dans les bâtiments existants
Entré en vigueur en 2019, le décret tertiaire, ou réglementation Éco Énergie tertiaire, impose une réduction progressive des consommations d’énergie finale dans les bâtiments à usage tertiaire, qu’ils soient neufs ou existants.
Le décret tertiaire concerne tous les bâtiments ou ensembles de bâtiments de plus de 1 000 m² (surface plancher), situés dans le secteur tertiaire public ou privé (bureaux, commerces, hôtellerie, enseignement, santé, etc.).
Les objectifs de réduction sont fixés par décennie :
- -40 % à l’horizon 2030 ;
- -50 % d’ici 2040 ;
- -60 % d’ici 2050 (par rapport à une consommation de référence ou à une valeur cible définie par arrêté).
Ces objectifs doivent être atteints progressivement et justifiés via la plateforme OPERAT gérée par l’ADEME.
Avec la mise en place d’une GTB qui permet de suivre, piloter et analyser les consommations en temps réel, cet outil constitue un outil indispensable pour répondre à cette obligation réglementaire.
Décret BACS : généraliser l’automatisation énergétique
Publié en juillet 2020 et actualisé en avril 2023, le décret BACS (Building Automation and Control Systems) complète le décret tertiaire en imposant l’installation de systèmes d’automatisation et de contrôle dans certains bâtiments tertiaires.
Il s’applique à tous les bâtiments tertiaires non résidentiels, dont les systèmes de chauffage, climatisation ou ventilation (seuls ou combinés) ont une puissance nominale utile > 290 kW.
Depuis le 1er janvier 2025, les systèmes de plus de 290 kW doivent disposer d’une GTB, tandis que ceux de plus de 70 kW ont jusqu’au 1er janvier 2027 pour respecter les exigences du décret BACS.
Le décret précise que les systèmes mis en œuvre doivent permettre :
- le pilotage automatisé des équipements techniques ;
- la surveillance continue des consommations ;
- la détection des dérives de performance ;
- la transmission des données aux exploitants.
Pour être conforme au décret BACS, la GTB installée doit atteindre a minima une classe C selon la norme NF EN ISO 52120-1.
Comment financer le système GTB d’un bâtiment ?
Pour accompagner la transition énergétique dans le secteur tertiaire, le respect du décret BACS peut s’appuyer sur le dispositif des certificats d’économies d’énergie (CEE).
D’application depuis 2006, le financement partiel de l’installation d’une GTB par les CEE se traduit par l’obtention d’une prime énergie versée par les fournisseurs d’énergie.
Concrètement, une entreprise peut obtenir une aide financière pour la mise en œuvre d’un système de gestion technique du bâtiment performant. Pour y prétendre, la GTB doit respecter certains critères d’efficacité (classe A ou B) et répondre à toutes les exigences de la fiche d’opération standardisée correspondante (BAT-TH-116).
Les réponses à vos questions sur la GTB
Qu’est-ce que ça veut dire GTB ?
GTB signifie gestion technique du bâtiment.
C’est un système informatique intégré qui permet de contrôler et de gérer tout type d’équipement technique d’un bâtiment.
Traditionnellement, ce sont les systèmes de chauffage, de ventilation, de climatisation (CVC), de plomberie et d’électricité ou encore des systèmes d’anti-intrusion, de vidéo surveillance ou d’IoT.
Elle vise à optimiser les performances énergétiques, la sécurité et le confort des occupants du bâtiment.
Elle est souvent mise en œuvre par des entreprises spécialisées, appelées intégrateurs GTB, et nécessite des compétences techniques et une expertise spécifique dans les domaines de l’automatisation et du contrôle des bâtiments.
Quel est l’objectif de la GTB ?
La GTB permet de contrôler l’ensemble des lots techniques d’un bâtiment qu’il soit neuf ou existant.
Elle régule le chauffage, l’électricité, la climatisation et la ventilation pour offrir un contrôle à distance et une supervision complète des installations pour une gestion efficace et un confort optimal des occupants.
Qui installe la GTB ?
La GTB est un système complet et complexe qui implique l’intervention d’entreprises spécialisées variées :
– des installateurs métiers, tels que des spécialistes en chauffage, ventilation et climatisation (CVC), électricité ou encore sécurité pour l’installation physique des équipements et des réseaux ;
– des automaticiens pour la fourniture et la programmation des automates ;-
– des intégrateurs pour assurer la communication et la supervision cohérente de l’ensemble :
– des exploitants pour garantir le bon fonctionnement et la maintenance continue du système.
Pour bénéficier de la prime CEE, l’installation d’un système GTB doit être effectuée par une entreprise agréée, possédant le label RGE (Reconnu Garant de l’Environnement) ou éco-artisan RGE.
Ces labels garantissent le respect des critères de qualité et de compétence dans la mise en œuvre de projets d’efficacité énergétique.
Qu’est-ce qu’une analyse fonctionnelle GTB ?
Une analyse fonctionnelle GTB implique l’examen approfondi des principales fonctions de chaque installation technique intégrée dans un bâtiment telles que le chauffage, la ventilation et la climatisation (CVC), l’éclairage ou encore la sécurité.
Elle aboutit à la création préalable d’un document de conception du système, essentiel lorsque de nombreux points doivent être programmés. Ce document spécifie les fonctions, les interactions et les interfaces du système avant la phase de programmation.
Pour réaliser l’analyse fonctionnelle de la GTB, il faut procéder à un examen approfondi des principales fonctions de chaque installation technique intégrée dans un bâtiment.
Quelle est la différence entre GTB et GTC ?
La différence entre GTB (gestion technique du bâtiment) et GTC (gestion technique centralisée) réside dans leur échelle d’intervention.
La GTB touche l’ensemble des lots techniques d’un bâtiment pour offrir un contrôle global des équipements installés. En revanche, la GTC se concentre sur le contrôle des installations d’un seul lot dans un domaine d’application spécifique pour réaliser une gestion technique plus ciblée.
Par exemple, un bâtiment pourrait disposer d’une GTC pour l’éclairage qui ne gérerait que cette fonction sans forcément la partager avec les autres systèmes.
Quelle est la différence entre GTB et Supervision ?
La GTB est un système complet qui optimise les performances énergétiques et opérationnelles d’un bâtiment en coordonnant et en automatisant ses divers équipements.
La supervision est une interface graphique destinée à l’exploitant du bâtiment pour lui donner les outils de surveillance et de pilotage du bâtiment et de ses systèmes.

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